Arnaud FRAISSE

1 janvier 2019

« Ma saison a été longue et intense, tant pro, perso que vélo.

J’ai trouvé et je trouve en Jean-Luc, tout le soutien et l’aide nécessaire pour relever la tête et réaliser mes défis.

J’ai pu orienter mes objectifs dans le bon sens, et garder une motivation des plus intense pour aller au bout!

Associé à mon entraîneur Pierre Hutsebaut, nous avons bien travaillé et je termine ma saison avec de beaux résultats, notamment une seconde place sur le Tour de Cambridge Gran Fondo Sportive UCI, + une qualification aux Championnats du Monde Gran Fondo de Varèse.

Je peux compter sur l’ecoute de Jean-Luc à n’importe quel moment, et ça, c’est précieux.

Merci pour tout. »

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Lilian SCHNEIDER >>

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En route pour les Jeux Para Olympiques avec Cloé!

22 novembre 2023ActualitésCollaboration avec Cloé en préparation mentale en vue des Jeux Para Olympiques de 2024 Article tiré de l’Alsace du 10 octobre 2023 : La Haut-Rhinoise Cloé Mislin rêve des Jeux Paralympiques de Paris-2024 Avant d’entamer une saison capitale en vue de la qualification pour les Jeux Paralympiques de Paris en septembre 2024, la Haut-Rhinoise Cloé Mislin a effectué il y a quelques jours une démonstration de para-dressage au Haras du Breuil à Morschwiller-le-Bas. Cloé Mislin et Fellini de Malleret forment un duo déjà très complice. Photo L’Alsace /Darek SZUSTER Soleil couchant, public attentif et musique douce … Les ingrédients étaient réunis, il y a quelques jours au Haras du Breuil à Morschwiller-le-Bas, pour suivre les deux reprises présentées par Cloé Mislin et Fellini de Malleret. Le duo déjà complice est en quête d’une qualification pour les Jeux Paralympiques de Paris-2024. À voir Cloé sur sa jument, le handicap ne saute pas aux yeux. La Morschwilleroise aujourd’hui âgée de 38 ans souffre de la maladie de Parkinson dite “juvénile”. Un mal qu’on lui a diagnostiqué quand elle avait 20 ans.« J’ai commencé à faire de l’équitation à huit ans à la Société hippique de la Thur. J’étais une petite fille “normale”», confie Cloé Mislin. « Mais j’ai eu par la suite des problèmes neurologiques. » Malgré tout, il était hors de question pour elle d’arrêter l’équitation.« C’est une passion dévorante.» Elle a touché à toutes les disciplines, est notamment partie au Canada faire de l’équitation western, avant de se tourner vers le para-dressage. « J’ai commencé à en faire en 2013 et j’ai disputé un premier concours CPEDI (Ndlr: un concours international) en 2014 », souligne la Haut-Rhinoise, qui concourt en grade 2. Enthousiaste, elle restait sur de belles performances avant le séisme provoqué par le Covid. « J’ai pris la 4e place des championnats du monde à Tryon, aux États-Unis, en 2018, et j’ai terminé 5e des championnats d’Europe en 2019. » Sur cette belle lancée, Cloé Mislin avait réalisé les quotas pour prendre part aux Jeux Paralympiques de Tokyo, qui ont été repoussés en 2021. « Là, je n’ai malheureusement pas réussi à me qualifier. Ç’a été une grosse déconvenue et ça a remis tous les plans par terre », regrette la cavalière. « J’ai trouvé cela injuste. » « On va faire de belles choses ensemble cette saison» Elle n’a pas baissé les bras depuis, malgré une blessure au pied et des difficultés financières. « Je suis toujours à la recherche de sponsors et de mécènes », confie Cloé Mislin, qui a vécu un tournant en changeant de monture. Après avoir travaillé durant de nombreuses années avec Caruso, elle forme désormais un duo avec une nouvelle jument, Fellini de Malleret. « Le changement n’est pas facile quand on a un nouveau cheval, car on s’est habitué à l’ancien», confie Cloé Mislin. « Il y a beaucoup de codes à remettre en place. Fellini a huit ans et en avait six quand je l’ai eue. Elle n’a pas encore vu beaucoup de concours. Mais elle est très talentueuse et est en train de s’assagir. J’apprends aussi beaucoup avec elle. Le cavalier doit se remettre en question. On part d’une page blanche, mais je suis confiante. On va faire de belles choses ensemble cette saison. » Une saison capitale qui devrait, elle l’espère, la mener au Graal. « Je n’ai encore jamais participé à des JO et là, à Paris, ce serait une belle vitrine pour tous les sports paralympiques et le para-dressage», rêve Cloé Mislin. « La compétition se déroulera au château de Versailles, ce serait un immense plaisir d’emmener ma famille là-bas. » Engagée dans la médiation animale et l’équithérapie Cloé Mislin s’imagine déjà avec Fellini dans ce cadre royal… Mais il faudra cravacher pour être de la partie. « Seize couples sont sélectionnables et il n’y aura que quatre places», précise Cloé Mislin, qui démarrera sa saison en novembre par les championnats de France à Saint-Lô. Une première étape vers les Jeux … « Ce serait une immense déception de ne pas être à Paris, mais l’avantage en équitation, c’est qu’on peut performer en étant vieux. Donc, j’aurais encore des perspectives, notamment pour les JO de Los Angeles en 2028! » Malgré une saison qui s’annonce riche, Cloé Mislin n’oubliera pas de donner encore de son temps aux autres. Présidente d’ Arnaé (Association pour la médiation animale et l’équithérapie), elle continuera d’accueillir différents publics à Flaxlanden pour partager sa passion. [...]

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Ainsi, au cours des sessions, les participants ont partagé avec nous des histoires personnelles incroyablement émouvantes. J’ai donc été ravi de réussir à instaurer un climat de confiance propice à ces échanges. Selon vous, quel a été l’exercice le plus marquant de la série d’ateliers avec nos salariés en insertion ? Je pense que l’exercice qui a eu le plus grand impact pour les salariés d’Esteam Job a été celui de la respiration. En plus, pour continuer la démarche, ils ont même installé une application gratuite de respiration sur leurs téléphones. Nous avons aussi effectué des exercices de visualisation du bien-être. J’ai également travaillé des pitchs de 90 secondes pour faire face à un entretien d’embauche. Après chaque atelier, les participants ont reçu une copie des exercices réalisés. Ce qui m’a particulièrement surpris, c’était de voir que les participants ont partagé ces outils avec leurs enfants, époux ou amis. Quel a été votre défi lors de l’animation de ces sessions avec nos salariés ? Mon principal défi lors de l’animation de ces sessions était de voir des sourires sur les visages à la fin de chaque atelier. Quelles compétences clés pensez-vous avoir transmises à nos salariés en insertion grâce à vos ateliers de coaching ? Les compétences clés que j’estime avoir transmises aux participants sont l’honnêteté le courage, l’implication la confiance En plus, les participants étaient toujours intéressés et j’ai pu utiliser des exercices de haut niveau, habituellement réservés à un public d’entreprise. Si les participants devaient retenir une seule idée de ces ateliers… Si les participants devaient retenir une seule idée de mes ateliers, ce serait « Tout est possible! » . Certains participants avaient des blocages, mais en les partageant, ils ont pu constater que nous pouvions trouver des solutions ensemble. Selon vous, la série d’ateliers de coaching en préparation mentale sera une réussite si… Après les ateliers, j’aimerais que chaque participant parvienne à pratiquer régulièrement au moins un des exercices que nous avons effectué. Témoignage de Joelson – un participant motivé aux ateliers de coaching Nous avons également interviewé Joelson, qui a participé avec beaucoup d’enthousiasme à tous les ateliers de coaching en préparation mentale. Joelson, pouvez-vous vous présenter ? Je suis Joelson, participant à l’atelier de coaching en préparation mentale. J’occupe actuellement un poste d’agent d’entretien chez Esteam Job depuis 2019. Quel est votre parcours, avant d’arriver chez Esteam Job ? Avant d’arriver chez Esteam Job j’ai eu mon garçon, j’étais allé chez Pôle Emploi, j’ai fait des formations, après avoir exercé plusieurs métiers dans mon pays d’origine. Quelqu’un m’a dit de venir chez Esteam Job si j’avais envie de travailler. Je les ai tout simplement appelé et ils m’ont proposé quelques missions. C’était assez simple et le personnel est très bien. Qu’est-ce qui vous a plu dans les ateliers animés par Jean-Luc ? Celui-ci c’est mon premier atelier et j’ai beaucoup aimé. C’est pour ça d’ailleurs que je suis venu à chaque séance. Je le fais pour moi. Je sais que ces exercices m’aident dans ma vie, pas que pour le travail. Les ateliers m’ont permis de revoir un peu les étapes de ma vie, les moments importants et d’en tirer des conclusions. Il est utile pour moi, mais en plus quand je rentre à la maison, ma femme me demande toujours quels étaient les exercices du jour, et je lui explique à elle aussi. C’est gratuit, c’est bien de partager et de l’aider elle aussi. Je lui montre des photos de la journée et elle est toujours contente quand je rentre après la formation. Quel est votre exercice préféré ? Mon exercice préféré c’était le module “motivation”. Je suis toujours motivé, même si je travaille dur. 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